<div>Salut Jordi,</div><div> </div><div>Concernant le nombre des locuteurs anglophones ton assertion est vraie seulement pour les intervenants sur ce forum de discussion et l'ensemble des forums organisés dans le cadre de la communauté d'internautes africains mais Arnaud a voulu interpeller <strong>la majorité SILENCIEUSE</strong> qui ne s'exprime souvent pas suite à la barrière linguistique. C'est comme si vous avez une élection où le nombre des abstentions est plus élevé que les votants. Cela remettrait en cause la crédibilité de ce scrutin.</div><div> </div><div>Il y a plusieurs organisations supranationales ou intergouvernementales qui fonctionnent avec 2 à 5 langues officielles (y compris dans la rédaction des normes) nous pourrions nous inspirer des méthodes utilisées par ceux-ci dans leur processus d'élaboration des normes. Avec les moyens technologiques actuelles, ce dispositif ne peut pas nécessiter une infrastructure si onéreuse.</div><div> </div><div>Je peux comprendre que dans un premier temps, le texte final à prendre en compte, ne soit libellé qu'en 1 ou 2 langues mais la proposition initiale devrait aumoins être traduite pour la compréhension de l'ensemble des lecteurs (locuteurs de 5 principales langues citées dans mon précédent mail) qui pourraient plus tard introduire des amendements sur les forums de discussion.</div><div> </div><div>Et je pense que pour trouver une solution idoine, on doit scruter ce qui ce fait dans des organisations similaires à Afrinic sans se limiter qu'aux RIR ou organisations analogues. En élargissant le spectre, nous aurons une vision transcendantale des solutions préconisables.</div><div> </div><div>En attendant que ce monde idéal n'existe les locuteurs non anglophones seront toujours contraint de déployer d'énormes efforts, pour amont,  faire traduire les différentes interventions consultées sur les forums de discussion et en aval, faire traduire leurs réactions.</div><div> </div><div>KANGAMUTIMA</div>