<span style="background-color: rgb(255, 255, 255);"><b><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;"><div>
<span style="background-color: rgb(255, 255, 255);"><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;"></span></font></span></div><font size="4">L’Internet crée un nouveau type de citoyen </font></span></font><font size="4"><br>
</font></b><br><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">L’Internet
crée un citoyen virtuel, très engagé, un citoyen révolutionnaire. Il
crée un homme aspiré au changement, à la liberté. Un citoyen qui ne
ménage pas ses propos quand il s’agit de commenter, d’argumenter ou de
contre argumenter, de protester, de prendre une position sur un sujet,
une actualité ou un évènement.</span></font><br>
<br><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">Dans
l’écosystème de l’Internet, trois acteurs fondamentaux assurent sa
croissance : l’Etat, le Secteur Privé et la Société Civile. Un
écosystème est une communauté, un ensemble dynamique d’organismes
vivants, interagissant entre eux et partageant leur environnement avec
d’autres éléments. L’internet est en constante mutation où chaque
élément, chaque milieu est menacé par l’autre. Chacun de ses groupes a
un intérêt particulier dans le processus de développement de l’internet.</span></font><br>
<br><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">L’utilisation
de l’Internet a changé bien des choses dans la vie de l’homme
d’aujourd’hui. Le caractère ouvert de l’Internet, depuis sa fondation,
basé sur le partage, lui a permis de s’étendre comme l’un des principaux
vecteurs de développement économique, social et politique. Grâce à
l’Internet, un nouveau type de citoyen a émergé.</span></font><br>
<br><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">«
En quelques années seulement, l’Internet a révolutionné le commerce, la
santé, l’éducation, et plus encore, le tissu même de la communication
et des échanges. De surcroît, son potentiel est bien plus puissant que
ce que nous avons pu entrevoir dans le laps de temps relativement court
depuis sa création », a souligné Kofi Annan lors d’un forum sur la
gouvernance de l’Internet à New York en 2004.</span></font><br>
<br><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">Pour
sa part, la Secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton, a mis en
garde les pays africains, lors d’une visite en Afrique en déclarant « Si
vous croyez que les libertés et les opportunités que nous avons dites
universelles ne doivent pas être partagées par votre propre peuple,
hommes et femmes aussi, ou si vous n’avez pas le désir d’aider votre
propre peuple à travailler et de vivre avec dignité, vous êtes du
mauvais côté de l’histoire, et le temps le prouvera ». Mme Clinton a
prévenu qu’ils doivent réformer vite ou regarder les progrès «
s’enfoncer dans le sable ».</span></font><br>
<br><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">Quelques
jours plus tard, nous avons assisté à toute une vague de soulèvements
populaires orchestrés sur l’Internet, contre des régimes de certains
pays d’Afrique du Nord, notamment en Tunisie et en Egypte. En Tunisie,
les jeunes appelaient leur soulèvement « la révolution facebook (numéro 1
des sites internet de réseau social) ». « Le jour, on était dans la
rue. La nuit, devant l'écran », sourit Ichem, 41 ans, professeur et
cybermilitant.</span></font><br>
<br><b><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">L’Internet crée un citoyen engagé</span></font><br></b><br>
<font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">L’Internet
crée un citoyen virtuel, très engagé, un citoyen révolutionnaire. Il
crée une femme ou un homme aspiré au changement, à la liberté. Un
citoyen qui ne ménage pas ses mots quand il s’agit de commenter,
d’argumenter ou de contre argumenter, de protester, de prendre une
position sur un sujet, une actualité ou un évènement. L’Internet crée
aussi une habitude de s’exprimer chez le citoyen, à travers un espace
efficace de diffusion d’information. L’un des avantages de ce canal est
sa capacité qu’il a d’atteindre toutes les extrémités dans un temps
record. Il existe aujourd’hui plus de deux milliards utilisateurs (cf.
UIT : Union internationale des télécommunications) à former ce que
l’appelle le « village global ». Défiant les limites le l’identification
par sa position géographique, le citoyen peut s’exprimer sans qu’il ne
soit connu ou identifié par quiconque, ni sa couleur, ni sa taille, ni
sa race. Il a une cyber identité et peut se créer des cybers amis.</span></font><br>
<br><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">Nous
sommes à l’heure de l’interconnexion par centres d’intérêt : les
réseaux sociaux, à l’heure des forums ou des groupes de discussions.
L’existence des plates-formes de publication en ligne crée le
journaliste citoyen, le « citoyen reporter », le citoyen bloggeur (blog :
site ou l’auteur émet des réflexions personnelles). Le site <a href="http://nonfiction.fr/" target="_blank">nonfiction.fr</a> précise que l’« Internet est un moyen d'expression politique non négligeable, qui peut faciliter la démocratie directe. »</span></font><br>
<br><b><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">L’Internet crée aussi le citoyen cybermilitant</span></font><br>
</b><br><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">En
Haïti, nous avons déjà dépassé la barre d’un million d’internautes. Les
dernières élections de novembre 2010 et mars 2011 ont montré que des
pas énormes ont été réalisés dans le processus d’informer la population
haïtienne sur le Net, et celle qui vit dans la diaspora. Une guerre
ouverte s’y était déclarée entre les partisans des candidats. Certains
candidats communiquaient avec leurs partisans ou courtisaient des
électeurs à travers leur page Facebook ou leur propre site Internet.
Autant que l’ambiance électorale était animée sur le terrain, elle l’a
aussi été sur le Net. A travers les forums, chacun défendait son
principe, ses idéologies, ses convictions et/ou ses candidats. Pour le
cybermilitant très connu des forums de discussions haïtiens, Yvon
Surpris, un pseudo ou son vrai nom, un opposant farouche au Président
Michel Martelly, à travers ses messages dans les forums, il défend des
principes de justice, de liberté et d’égalité. « Je perçois l’Internet
comme un outil de transformation. Un support pour la démocratie et la
transparence », souligne-t-il. Pour sa part, Jean Junior Joseph, expert
en communication moderne, a déclaré « Je crois que la cybermillitance a
fait un grand chemin qu'on ne saurait mésestimer. Par exemple, il suffit
d'une source pour fuiter une nouvelle et le monde dans l'immédiateté
est au courant, passant par toutes les stations de radios, télévisions,
bref tous les medias ».</span></font><br>
<br><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">Pour
le journaliste capois Cyrus Sibert, de réseau citadelle, « Avec
l’Internet, le journaliste est indépendant des grands medias.Il permet
l’autonomie. Même dans le maquis, tu peux faire ton travail »,
ajoute-t-il.</span></font><br>
<br><b><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">L’internet crée un citoyen ouvert au monde extérieur</span></font><br>
</b><br><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">De
part son objectif, dès sa création, l’Internet mise sur l’échange, le
partage entre des collaborateurs éloignés les uns des autres. Les
utilisateurs se regroupent, ou reproduisent leur petit monde virtuel,
leur cercle, en référence à Google +, le dernier né du géant Google. Sur
l’Internet, tout se discute : la politique, la religion, la santé,
l’économie, les rencontres professionnelles ou amoureuse etc…</span></font><br>
<br><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">La
vitesse de propagation de l’information sur Internet est incalculable.
L’attaque américaine amenant à la mort de Ben Laden a été publiée sur
Twitter (site micro-blogging américain). Sohaib Athar, un spécialiste en
technologique pakistanais racontait le fil des évènements à partir de
son compte Twitter. La nouvelle était connue de tous.</span></font><br>
<br><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">Dans
le souci d’informer sur le tremblement de terre qui a frappé Haïti le
12 janvier, le journaliste haïtien Carel Pèdre, a attiré l’attention des
médias du monde entier sur Haïti. On l’a présenté comme les « yeux
d’Haïti ».</span></font><br>
<br><b><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">La censure … un blocage</span></font><br></b><br><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">Un
Etat qui censure l’Internet est un Etat totalitaire. La censure de
l’Internet est l’acte par lequel un Etat (généralement) décide de
limiter l’accès aux informations par ce réseau. Une telle décision est
une violation des droits de l’homme. L’accès à l’information est un
droit indéniable. La censure peut être un blocage systématique d’un ou
des sites ou lié aux moteurs de recherche (filtrage). Les pays suivants
sont classés comme des pays ennemis de l’Internet : Arabie Saoudite,
Birmanie, Chine, Corée du Nord, Cuba, Iran, Ouzbékistan, Syrie,
Turkménistan, Vietnam (selon Reporters sans frontières : cf.
Wikipédia). </span></font><br>
<br><b><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">Conclusion</span></font><br></b><br><font face="'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif"><span style="line-height: 14px;">En
2003 et en 2005, s’était tenu à Genève et à Tunis, le sommet mondial
sur la société de l’information. Selon un rapport publié par
l'Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE)
présenté à Vienne, l’accès à l’Internet doit être considéré comme un
droit de l’homme fondamental et respecté autant que celui à la liberté
d’expression. Cependant, beaucoup d’efforts restent à être consenti afin
de libéraliser l’accès à l’Internet. Il est important d’établir un plan
développement de l’infrastructure nationale d’information et de
communication. L’Etat doit privilégier l’accès aux technologies à tout
citoyen, afin de lui apporter les services, ce qui renforcera le lien
entre les pouvoirs publics et les populations. Aujourd’hui, il ne suffit
pas de scolariser des enfants, il faut former des jeunes compétitifs
pour l’avenir.</span></font><br><font color="#888888">
<br></font></span><br clear="all"><br>-- <br><i><b><span style="color: rgb(0, 0, 153);">Joseph MANDJOLO MUSH</span></b></i><br><i style="color: rgb(0, 153, 0);"><b>Chef de Service Qualités des Services<br>Assistant Technique et Maintenance <br>
projet gestion nom de domaine .CD</b></i><br><i style="color: rgb(204, 0, 0);"><b>SCPT/DRC</b></i><br><i><span style="color: rgb(204, 51, 204);">Mobile: +243 9 98 42 91 25</span><br style="color: rgb(204, 51, 204);"><span style="color: rgb(204, 51, 204);"> +243 89 80 86 263</span><br style="color: rgb(204, 51, 204);">
<span style="color: rgb(204, 51, 204);">B.P. 1130 Kinshasa 1</span><br>e-mail: <a href="mailto:josemandjolo@ocpt.cd" target="_blank">josemandjolo@ocpt.cd</a><br> <a href="mailto:josemandjolo@hotmail.com" target="_blank">josemandjolo@hotmail.com</a></i><br>
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