<table width="570" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0"><tbody><tr><td class="arial13" colspan="3" align="center" height="50"><b>Maurice récupère le nom de domaine .mu </b></td> </tr>
<tr> <td colspan="3" align="center" bgcolor="#000000"><img src="http://imgs.xinhuanet.com/icon/xilan/blank.gif" width="1" height="1"></td> </tr> <tr>
<td colspan="3" align="center"><img src="http://imgs.xinhuanet.com/icon/xilan/blank.gif" width="1" height="3"></td> </tr> <tr bgcolor="#c0d4fe"> <td class="arial12" width="188" align="center" height="20">
</td> <td class="arial12" width="224" align="center" height="20"> 2009-04-23 20:52:40 </td> <td class="arial12" width="188" align="center" height="20"> </td> </tr>
</tbody></table> <p class="Title">
<font class="arial12" face="Times New Roman">
</font></p><p class="title" align="middle"><font class="arial12" face="Times New Roman"> PORT-LOUIS, 23 avril (Xinhua) -- L'Etat mauricien a
récupéré officiellement son ccTLD (country code Top Level Domain) ou, en
français, domaine de premier niveau de code de pays), après qu'un
accord ait été signé mercredi après-midi avec Internet Direct
Ltd.
</font></p><p><font class="arial12" face="Times New Roman"> Internet Direct Ltd gérait depuis 1995 le nom de
domaine de Maurice ".mu". Le gouvernement mauricien va maintenant
instituter un comité multisectoriel qui aura pour responsabilité la
gestion du nom de domaine de premier niveau local.
</font></p><p><font class="arial12" face="Times New Roman"> "C'est un grand pas pour l'histoire du pays", a
déclaré Asraf Dulull, ministre des TIC lors de la cérémonie de signature
de l' accord au siège de son ministère.
</font></p><p><font class="arial12" face="Times New Roman"> "Si Maurice veut émerger comme une plateforme
tournante pour la région, il est impératif qu'elle se réapproprie son nom
de domaine de premier niveau", a affirmé Asraf Dulull.
</font></p><p><font class="arial12" face="Times New Roman"> Le ccTLD, propre à chaque pays permet effectivement,
entre autres choses, de mieux référencer les adresses internet et de
retrouver facilement les sites tels le. mu pour Maurice.
</font></p><p><font class="arial12" face="Times New Roman"> En 1995, la gestion du .mu avait été déléguée par
John Poster, de l'Internet Assigned Numbers Authority (IANA), à la société
Internet Direct Ltd, représentée par Yan Kwok. Des démarches et
négociations pour la récupération du nom de domaine ont été
enclenchées en 2005.
</font></p><p><font class="arial12" face="Times New Roman"> "Le forum sur la gouvernance de l'Internet organisé
en mars dernier par l'Information Technology, Communications and
Telecommunications Authority (ICTA) et l'African
Telecommunication Union (ATU) en collaboration avec l'Internet Corporation
for Assigned Names and Numbers (ICANN), l'African Network Information
Centre (AfriNIC), a été un élément catalyseur dans la ré
appropriation du .mu", affirme M. Dulull.
</font></p><p><font class="arial12" face="Times New Roman"> Pour rappel, cette rencontre, réunissant une
quarantaine de délégués d'une vingtaine de pays d'Afrique, portait sur des
discussions quant aux possibilités pour chaque"tat d'Afrique d'
avoir son propre code de pays dans le domaine de premier niveau.
</font></p><p><font class="arial12" face="Times New Roman"> Après la signature de ce MoU avec Internet Direct
Ltd, Maurice est devenue ainsi le deuxième pays après l'Afrique du Sud à
avoir repris les droits sur son nom de domaine. Le ministre souligne
par ailleurs que la récupération du nom de domaine du pays a été
faite sans intervention financière.
</font></p><p><font class="arial12" face="Times New Roman"> Après la signature de cet accord, la prochaine étape
devrait être la création d'un multi-stakeholder committee qui sera
composé de membres de la société civile, du secteur privé, d'internautes,
d'opérateurs, d'ONG.
</font></p><p><font class="arial12" face="Times New Roman"> Toutefois, afin d'assurer la stabilité
de l'administration du nom de domaine, les opérations techniques
continueront d'être gérées par la société Internet Direct Ltd, qui, estime
le ministère, a démontré jusqu'ici une expertise technique et
une expérience dans la gestion d'un Top Level Domain (TLD).
</font></p>