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<h1>L'Icann face à une période de transition avec le départ de Vinton Cerf</h1></div>
<a href="http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-l-icann-face-a-une-periode-de-transition-avec-le-depart-de-vinton-cerf-23330.html">http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-l-icann-face-a-une-periode-de-transition-avec-le-depart-de-vinton-cerf-23330.html
</a><br><b class="rouge">Edition du 02/07/2007</b> - par <a href="mailto:redac_weblmi@idg.fr" class="rouge">Cyrille Chausson</a>
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<p id="txtcontent">L'Icann perd son charismatique leader. Son président
du directoire, Vinton Cerf, 64 ans, père du TCP/IP et évangéliste chez
Google, quittera ses fonctions dès octobre, comme le mentionnent les
statuts de l'organisation en charge de la gestion technique des DNS. Un
départ que l'Icann (Internet Corporation fotr Assigned Names and
Numbers) devra rapidement combler, tant Vinton Cerf a contribué à
maintenir à flot l'organisation.<br>
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Son successeur, qui sera élu lors du changement de board en octobre
prochain, récupère des dossiers sensibles, toujours en cours de
validation, comme l'internationalisation des noms de domaine et
l'introduction de nouveaux suffixes génériques pour compléter les .com,
.net et .org. Son remplaçant devra également restructurer l'Icann qui
tente de jouer la carte de la transparence quant à sa gestion -
notamment sur les liens qui la relient au ministère du Commerce
américain, ainsi qu'au registre Verisign, en charge du .com.<br>
Le dernier dossier en date : une révision en profondeur des procédures
d'accréditation de registrars, annoncée à l'occasion de la 29e
conférence à Porto Rico.<br>
« Je ne pense pas que quiconque à l'Icann songe à rechercher un « Vint
deux », car il n'y en a pas », a déclaré Paul Twoney, CEO de
l'organisation.<br>
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Vinton Cerf, de son côté, a expliqué à nos confrères d'IDG News
Service, qu'il s'écartait pleinement des activités de l'Icann pendant
au moins un an. Il compte ensuite jouer un rôle de consultant, mais
n'interviendra plus officiellement. L'une des raisons est qu'il
souhaite s'investir davantage dans ses activités annexes, comme son
emploi chez Google.</p>
<h1>L'Icann veut garantir la qualité de services aux internautes</h1>
<br><b class="rouge">Edition du 26/06/2007</b> - par <a href="mailto:redac_weblmi@idg.fr" class="rouge">Cyrille Chausson</a>
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<p id="txtcontent">Lors de sa 29e conférence internationale
(International Public Meeting), l'Icann (Internet corporation for
Assigned Names and Numbers), le régulateur d'Internet, a décidé de
sonder l'opinion sur les procédures de certifications attribuées aux
registrars (organismes locaux chargés de gérer et de commercialiser les
noms de domaines - DNS). Une décision qui intervient alors que l'Icann
a annulé l'accrédition de RegisterFly pour mauvaise qualité de service,
après plusieurs milliers de plaintes de consommateurs. L'Américain
RegisterFly n'avait pas débloqué des dizaines de milliers de DNS, alors
commandés par les internautes, et surtout, ne s'était pas acquitter de
la redevance auprès de l'Icann.<br>
L'organisme envisage alors de modifier les termes des accords baptisés
Registrar Accreditation Agreement (RAA) qui le lie aux registrars et
certainement de mettre l'accent sur les conditions minimales de
services à fournir. Cette problématique sera discutée lors d'un atelier
"Protection of Registrants".<br>
Seront abordés également lors de la conférence, le développement des
IDN (International domain names), qui suscitent notamment la convoitise
de pays asiatiques et l'introduction de nouveaux suffixes génériques
qui viendraient compléter <a href="http://les.com">les.com</a>, .net et .org.</p><br>-- <br>Anne-Rachel Inne